L’appel à générosité de Bernadette Chaventon
Notre co-fondatrice, engagée depuis 42 ans pour l’éducation au Cambodge, vous parle en toute transparence du besoin de financement de Sipar. Elle en appelle à votre générosité.
« Tous les mois, nous vous apportons des nouvelles des activités de Sipar au Cambodge en faveur du développement de la lecture. Nous parlons des bibliobus, biblio tuk-tuks, biblio-bateaux, biblio-sac-à-dos… Des bibliothèques dans les écoles, dans les prisons, dans les briqueteries, des micro-bibliothèques… Nous vous présentons Sipar Edition qui est maintenant une maison d’édition indépendante. Nous vous présentons les projets pour les années à venir.
Mais nous avons rarement parlé finances… et pourtant sans finances rien n’est possible. D’abord, nous tenions à vous remercier, vous êtes plus que des donateurs. Vous êtes des partenaires. Sans vous, rien n’est possible… Nous vous remercions pour votre fidélité et votre générosité : « Orkun » – merci en cambodgien. Aujourd’hui, le sujet est abordé aussi parce que les temps sont durs. Le Cambodge n’apparaît plus comme une urgence et les donateurs orientent leurs dons vers des causes locales…
Investir dans l’avenir du Cambodge
Pourtant, le Cambodge a encore besoin de Sipar. Alors que Phnom Penh est une ville en pleine expansion, les campagnes restent très pauvres. Sipar apporte son soutien aux plus défavorisés et doit poursuivre ses actions en leur faveur.
Il y a donc urgence : nous devons trouver de nouveaux donateurs et nous comptons sur vous tous pour nous y aider. Et si chaque lecteur de cette newsletter sollicitait une ou un de ses amis ? Si parmi vous, lecteurs, vous connaissez des entreprises, des fondations, des fonds de dotation, un mécène, susceptibles de nous soutenir… N’hésitez pas à nous les faire connaître.
Depuis 42 ans, je fais partie de l’équipe recherche de fonds. Sothik, le directeur de Sipar, m’a baptisée « grande mendiante humanitaire ». C’est un titre dont je suis très fière et qui me permet de faire encore appel à vous. Sipar compte sur vous tous. Merci.
Bernadette Chaventon